Owl’s Bread s’agrandit au Carrefour Santé Globale

INVESTISSEMENTS. Célébrant cette année le dixième anniversaire de son commerce au centre-ville, l’entreprise Owl’s Bread s’offre en cadeau un deuxième point de service à Magog, plus précisément dans le nouveau Carrefour Santé Globale.

Le propriétaire Denis Mareuge confirme la nouvelle en affirmant que le bail de location est signé depuis déjà quelques jours. Une occasion d’affaires qui, le souhaite-t-il, donnera un deuxième souffle inespéré à sa «business». «Pour être honnête, les dernières années à Magog n’ont vraiment pas été faciles. On en a même beaucoup souffert par moment. Mais aujourd’hui, avec cette opportunité, on se dit que c’est peut-être, enfin, la lumière au bout du tunnel que nous attendions depuis si longtemps», raconte M. Mareuge.

Pour concrétiser ce grand projet, le propriétaire et grand chef a pris la décision de changer complètement la formule de son adresse au centre-ville magogois. En plus d’un nouveau nom, qui n’était pas encore choisi au moment d’écrire ces lignes, l’endroit aura uniquement une vocation de restauration. Un investissement évalué à plus de 100 000 $. «On doublera le nombre de places, pour passer de 25 à 50. On servira également des repas le soir, ce qui n’était pas le cas à l’heure actuelle. L’intérieur sera refait et réaménagé. Il y aura même un coin «lounge» pour prendre des consommations. Ce sera vraiment un bistro haut de gamme.»

Au Carrefour Santé Globale, ce sera la bannière Owl’s Bread que les habitués de la place reconnaîtront. L’entreprise offrira essentiellement les produits de sa boulangerie et pâtisserie. Si tout se déroule comme prévu, l’odeur du pain frais se fera sentir vers le début du mois de juin.

En ce qui a trait au resto, les premiers clients pourraient être servis à la mi-juin. «Au Carrefour, on s’attend à faire beaucoup de volume, peut-être comme jamais auparavant. Juste avec les employés qui y travailleront, il y a déjà un potentiel intéressant. Sans compter que l’emplacement est idéal, car 80 % des gens qui arrivent à Magog passent devant. Seul le temps dira si ce fut une bonne décision de sauter dans le train, mais pour l’instant, nous sommes confiants», conclut Denis Mareuge, qui s’attend à créer quelques nouveaux emplois.

Notons que l’entreprise a encore pignon sur rue au cœur du village de Mansonville.