Denis Paradis parle d’économie

Le candidat libéral dans Brome-Missisquoi Denis Paradis entend mettre la plateforme économique de son parti au profit des familles de la circonscription.

En proposant un important investissement fédéral en infrastructures de 125 milliards en dix ans, Justin Trudeau soumet une solution sensée à la population pour stimuler une économie en panne et permettre à de nombreuses familles de joindre les deux bouts.

Ce plan a l’appui des experts. Ce que dit David Dodge, l’ancien gouverneur de la Banque du Canada, est qu’investir dans les infrastructures publiques, comme on s’apprête à le faire, c’est faciliter la croissance et l’augmentation des revenus sur une période de dix à vingt ans (Everything is Political, 2015).

«C’est donc le temps d’investir dans les projets dont notre pays a besoin, mais surtout dans ceux dont notre circonscription a besoin et qui profiteront à notre économie et aux familles d’ici», croit Denis Paradis.

En ce sens, l’élection n’était toujours pas déclenchée que Denis Paradis parcourait de long en large la circonscription, allant à la rencontre des élus locaux pour discuter des priorités de leur milieu et chiffrer leurs besoins en infrastructures. «Orford, c’est 3 millions. Clarenceville, 10 millions. Pour Stukely-Sud, 7 millions. Frelighsburg, encore 7 millions…» Denis énonçait-il à l’occasion du débat organisé par la Chambre de commerce et d’industrie Magog-Orford.

«Il est certain que notre comté tirera un bénéfice économique concret d’un investissement dans ses infrastructures», soutient Denis Paradis.

C’est une position partagée par Richard Wisdom, ancien maire de Lac-Brome, et Pierre Beaupré, directeur général de la Résidence Pinecroft de Magog, qui ont déjà vu Denis à l’oeuvre.

Pour Richard Wisdom: «si, en 2005, nous avons pu mettre sur pied un centre communautaire à Lac-Brome, c’est en bonne partie grâce à Denis qui a su amener nos besoins à Ottawa pour en ramener l’argent dans le comté. C’est une formule qu’il connait bien et qui a profité à tous.»

Pierre Beaupré raconte à son tour. «En 1996, un important projet d’agrandissement de la Résidence Pinecroft était sur la table. Malgré nos réponses aux demandes de la Société canadienne d’hypothèque et de logement, le projet était refusé par l’organisme. Je ne croyais plus en les chances du projet, jusqu’à l’intervention de Denis. Il a su ouvrir les bons canaux de communication, avec les bonnes personnes, pour débloquer le projet et faire avancer les choses.»

 

(Communiqué de presse – PLC)