Quand l’écriture «sourit» à Guillaume Bernard
CULTURE. Après avoir raconté ses récits à l’étranger dans un tout premier roman lancé en 2020, Guillaume Bernard récidive avec un nouveau livre qui traite également du voyage, mais vers une destination plus personnelle, par une introspection où il utilise le sourire comme une boussole de sa vie.
Le Magogois a choisi sa région natale pour mettre sur papier son histoire intitulée «L’homme qui souriait», dans laquelle on le suit au fil d’événements qui sont à la fois inspirés de faits réels et du fruit de son imagination. On y rencontre notamment Léo, un sage «au sourire désarmant», ainsi qu’un chat «énigmatique, sauvage et libre» du nom de Garte.
Mais au-delà des personnages, il utilise sa plume pour partager des réflexions personnelles qui l’ont aidé à trouver des réponses à des moments plus sombres de sa vie. «C’est en commençant un cours comme thérapeute en relation d’aide que ce projet de livre a commencé à germer dans ma tête. J’ai toujours eu en moi ce désir d’aider les gens à s’exprimer et à libérer ce qu’ils gardent de travers dans leur coeur. Mais ultimement, ce cours a brassé énormément d’affaires en moi. J’ai vécu un grand voyage intérieur qui m’a fait énormément réfléchir et c’est là que je me suis remis à l’écriture, à ma grande surprise.»
Au fil des chapitres, l’auteur se promène dans différents lieux biens connus dans Memphrémagog comme le Marais de la Rivière-aux-Cerises, au sommet du Mont-Orford ou encore en plein centre-ville de Magog, au parc des Braves.
Des endroits qui lui sont fort inspirants et où il a pris plusieurs fois conscience du pouvoir qui se cache derrière un simple sourire. «Mon secret, c’est de marcher en m’obligeant à avoir un sourire dans le visage. Non seulement ça aide à chasser les voix négatives qui résonnent constamment dans notre tête en raison de blessures ou de traumatismes du passé, mais le sourire a un pouvoir encore plus profond. Lorsqu’on choisit de ressentir une émotion positive, on se rend compte qu’elle se met aussi à fleurir à l’extérieur et toute cette magie rejaillit autour de nous et sur les gens qui croisent notre chemin.»
«Et au final, on réalise que les réponses que nous cherchons constamment, même parfois trop loin, sont bien souvent si près de nous et c’est ce que j’essaie de mettre en lumière dans ce livre», raconte le Magogois, qui a travaillé sur ce projet de façon intensive durant plus de six mois.
Pour se procurer un exemple, il est possible de contacter directement Guillaume Bernard sur Facebook ou le commander sur la plateforme Amazon.
(Photo gracieuseté)
Que raconte «L’homme qui souriait»?
«Ce roman narratif invite à poser un regard neuf sur nos expériences, à embrasser les mystères de l’existence et à s’ouvrir à une confiance nouvelle, comme un rayon de soleil réchauffant l’âme. Entre récit captivant et réflexion profonde, «L’homme qui souriait» est une véritable ode à l’introspection et à l’amour de la vie, qui séduira autant les amoureux de Magog et les voyageurs de l’âme.» – Guillaume Bernard