Magog: un domaine de 16,5 M$ suscite de l’intérêt sur le marché immobilier (photos)

IMMOBILIER. Malgré son prix de vente de 16,5 M$ qui frappe l’imaginaire, la vaste propriété de la rue Verchères à Magog suscite beaucoup d’intérêt sur le marché alors que trois offres d’achat ont été déposées depuis sa mise en vente en 2020.

Même si ces offres ne se sont pas matérialisées en un accord final, Marie-Yvonne Paint, courtier immobilier agréé chez Royal Lepage Heritage, est loin d’être inquiète pour la suite des choses. Au contraire, elle soutient que le domaine, qui possède quatre résidences au total, risque de trouver preneur rapidement en 2022 en raison de la demande qui est forte. «Évidemment, ce n’est pas une propriété pour le commun des mortels, comme vous et moi, mais il y a bel et bien un marché pour ce registre de prix. L’Estrie est un marché où la valeur se maintient et qui est moins volatil que les Laurentides, par exemple. Ce sont deux marchés complètement différents, mais tout aussi intéressants», soutient Mme Paint.

Chose certaine, ne visite pas qui veut une propriété aussi luxueuse valant plusieurs millions de dollars. Les acheteurs potentiels doivent respecter une série de conditions, dont celle de prouver qu’ils ont la capacité financière pour procéder à une telle acquisition. «Il y a tout un processus avant chaque visite, car il faut pratiquement une journée pour voir l’ensemble des lieux, ce qui demande beaucoup de temps et de préparation. Jusqu’à présent, les personnes qui ont manifesté de l’intérêt sont tous des gens du Québec inc. On a souvent l’impression que les acheteurs pour ce type de propriété proviennent de l’international, mais c’est faux. On parle de gens locaux qui se cherchent une résidence secondaire pour y demeurer avec leur famille. Il y a des gens riches au Québec, des millionnaires et des milliardaires, et c’est tant mieux!», est d’avis celle qui travaille chez Royal Lepage Heritage.

Mais avec un tel budget, pourquoi ne pas se construire une propriété à son goût, à son image, plutôt que d’acheter quelque chose qui est déjà clé en main? La question est facile à répondre, selon Samuel R. Demers, directeur des ventes pour l’équipe de Marie-Yvonne Paint. «Si une personne voulait construire la même propriété aujourd’hui, ça lui coûterait probablement le double du prix affiché. Il y a aussi l’emplacement qui ajoute une grande valeur à la maison, car il n’y a pas beaucoup de terrain similaire en vente aux abords du lac Memphrémagog», explique M. Demers.

«Et c’est une maison tout en pierre véritable qui a été extrêmement bien construite en 2012, renchérit Mme Paint. Le premier propriétaire a suivi les standards de construction les plus élevés, avec un grand souci du détail. Ce n’est pas qu’une maison; mais bien un domaine avec des résidences magnifiques pour les invités. L’endroit offre aussi de grands espaces et une intimité, un élément qui est très recherché.»

Rappelons qu’en 2015, la résidence de la rue Verchères avait été vendue  environ 13,2 M$, alors que son prix de vente avait été établi à 25 M$. À ce moment, il s’agissait d’un prix de vente record.

 

Autres faits saillants sur le Domaine de la rue Verchères

  • La propriété dispose de 5 chambres et 7 salles de bain (incluant 2 salles d’eau)
  • Les taxes annuelles s’élèvent à 90 000 $
  • Évaluation municipale: 9, 5 M$, soit 6,8 M$ pour l’immeuble et 2,7 M$ le terrain

 

 

(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté –  Archimed Studio / Matthieu Delarue)
(Photo gracieuseté –  Archimed Studio / Matthieu Delarue)
(Photo gracieuseté –  Archimed Studio / Matthieu Delarue)
(Photo gracieuseté –  Archimed Studio / Matthieu Delarue)
(Photo gracieuseté –  Archimed Studio / Matthieu Delarue)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
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(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
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(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
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(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)
(Photo gracieuseté – Marie-Yvonne Paint/Royal Lepage Heritage)