Parc national du Mont-Orford: baignade interdite si la grève se déclenche samedi

TOURISME. La baignade sera notamment interdite aux lacs Fraser et Stukely si le syndicat des employés de la Société des établissements de plein air du Québec (SÉPAQ) déclenche un arrêt de travail comme prévu samedi.

Un arrêt de travail menace toujours les activités régulières au parc national du Mont-Orford dès le déclenchement des vacances de la construction. Outre la baignade, les stationnements du lac Fraser seront fermés, tout comme l’accès du lac Stukely via la route 1 (à l’exception des gens en hébergement), si les négociations demeurent dans l’impasse.

Ce parc fait partie de tous les emplacements et parcs gérés par la SÉPAQ, car les employés syndiqués de cette organisation ont émis un avis de grève pour samedi prochain (20 juillet).

Si une grève est déclenchée, la SÉPAQ assure que les établissements et parcs demeureront ouverts. «Les opérations à effectif réduit risquent néanmoins d’avoir un impact sur certains services, tels que la restauration, la location d’équipement nautique, les plages et les activités guidées. Une compensation sera appliquée à la facture des usagers advenant que leur séjour soit affecté», lit-on par voie de communiqué.

Plus précisément au parc du Mont-Orford, les services affectés seraient les chalets EXP et Nature, la location d’embarcations nautiques, les activités de découvertes, les plages surveillées (lacs Stukely et Fraser), les casse-croûtes et la location de vélo. Toutes les autres opérations se dérouleraient normalement malgré la grève.

Pour l’hébergement dans les chalets EXP et Nature, aucune arrivée ne pourra se faire à compter du 20 juillet. Les clients arrivés avant samedi pourront terminer leur séjour tel que prévu à leur réservation.