Vivre à Eastman: un milieu inspirant pour la famille et les affaires

EASTMAN. Eastman attire davantage de nouveaux résidents depuis quelques années, mais d’autres avaient déjà flairé la bonne affaire il y a quatre décennies.

Jeune Montréalaise à l’époque, Jocelyna Dubuc rêvait des Cantons-de-l’Est dès le début des années 1970. La beauté des lieux, la vue du majestueux Mont-Orford ainsi que la qualité de l’air et de l’eau ont convaincu cette femme d’affaires de lancer son entreprise en pleine campagne. «J’ai eu un coup de foudre», avoue-t-elle.

Ainsi est né le Centre de santé d’Eastman en 1977 pour profiter d’un lieu qui inspire les vacances et la magie. Mme Dubuc s’installe au même moment dans un village qu’elle a vu se développer au fil des ans, tout en conservant ses «dimensions humaines».

L’entreprise a probablement été l’étincelle ayant déclenché le «potentiel énorme» d’un petit village qui manquait un peu de vie à l’époque, selon Mme Dubuc. «Mais petit à petit, des gens se sont de plus en plus impliqués dans la communauté, des organismes comme la Société d’embellissement du village d’Eastman (SEVE) et les Correspondances se sont formés pour transformer la municipalité comme on la connaît aujourd’hui», raconte cette pionnière des spas au Québec et au Canada.

Gérard Marinovich s’est installé en permanence à Eastman en 1996. «J’ai eu deux coups de foudre en découvrant le Spa Eastman en 1994, soit l’emplacement et Jocelyna, qui allait devenir plus tard ma conjointe», se réjouit-il.

Cet ex-directeur général d’un hôpital en Abitibi se remet alors sur pied grâce au repos, à une saine alimentation et à une qualité de l’air qu’il n’avait pas à Rouyn-Noranda. «Jumeler une nouvelle fréquentation et un oasis de paix, voilà deux bonnes raisons pour changer complètement de vie», admet M. Marinovich. C’était le geste à faire pour retrouver la santé et mon bien-être.»

Rebaptisé Spa Eastman il y a quelques années, l’entreprise embauche aujourd’hui 125 personnes et accueille 30 000 clients annuellement.

 

Ce texte a été écrit dans le cadre du projet publicitaire «Vivre à Eastman», publié dans l’édition papier du 10 juillet dernier. Pour consulter la version numérique: lerefletdulac.com/archives/10-juillet-2019/