Les deux côtés de la médaille

Il y a un certain temps, un commentaire paru dans le Reflet du Lac, tentait de faire croire que les copropriétaires de la Place Luxor – phase 2, étaient en erreur de réclamer réparation pour ce qu’ils ont enduré. (…)

Il n’est pas à douter que certains clients de M. Leblanc aient reçu de bons services et c’est avec beaucoup de ravissement que l’on apprend que Mme Gaboriault et M. Desautels sont du groupe. Nous leur disons tant mieux.

Toutefois, contrairement à leurs déclarations, les acheteurs de la phase 2 n’ont pas eu droit à telle satisfaction. D’ailleurs, il est plutôt naïf de laisser croire que toute cette histoire repose sur une simple question de recouvrement. Vous auriez avantage à lire le Reflet du 29 janvier dernier ainsi qu’à vérifier qui a vraiment payé pour les réparations, tant de la phase 1 que de la phase 2, puisque dans les faits c’est plutôt l’entrepreneur en construction qui a tout payé et non Daniel Leblanc.

Nous demandons aux lecteurs de considérer qu’il y a toujours deux côtés à une médaille et qu’il est mal indiqué de ne gober qu’une seule version des faits sans avoir la rigueur de vérifier l’autre. Une chose incontestable peut être dite : trois juges indépendants ont pris le temps d’écouter les deux versions et nous savons tous qui ils ont choisi de croire. Daniel Leblanc (pourtant professionnel à toute épreuve selon les dires de certains) a, aux dépens de ses clients qui lui faisaient pourtant confiance, enfreint les règles déontologiques de sa propre association : il est l’unique architecte de ses malheurs.

Quant à la reconnaissance d’une possible erreur, disons qu’en ce qui nous concerne, oui, il y a eu erreur, et elle aura été de naïvement faire confiance à Daniel Leblanc.

Yves Coulombe

Marcel Barbeau

Yolande Croteau

Magog